TPE Les microprocesseurs
Structure Structure générale
Parties principales
Parties auxiliaires
Deux types de processeurs
Fonctionnement Le calcul binaire
Les transistors
Les portes logiques
Une opération simple

Parties auxiliaires

L'horloge à quartz, le plus souvent extérieure au processeur, détermine la fréquence (nombre de cycles exécutés par seconde).
La tension imposée au quartz le fait osciller par piézoélectricité, à une fréquence sans limite théorique.
C'est cette fréquence qui détermine la vitesse de traitement du microprocesseur. Par exemple, un microprocesseur portant la mention 500 MHz a une fréquence d'horloge de 500 MHz : chaque seconde, 500 millions de cycles simples sont effectués par l'UAL. Il est intéressant de remarquer que chaque cycle est effectué en 2 nanosecondes (2.10-9 s) seulement.
Pour autant il ne suffit pas d'augmenter la fréquence d'horloge pour augmenter la performance du processeur. Cela se fait très facilement, en réduisant la taille du cristal de quartz.
Les transistors et autres composants doivent être adaptés à la fréquence de l'horloge. En effet, par des effets dits parasitifs, le transistor déforme la forme du signal électrique, et le transmet avec un certain retard. Si la fréquence est trop élevée, ces effets rendent le signal inutilisable par le reste du circuit.
On ne peut donc augmenter la fréquence du microprocesseur que si les autres composants "suivent". C'est donc l'amélioration de ceux-ci que cherche l'industrie.

Le coprocesseur, lui aussi externe, présent dans les microprocesseurs récents, prend en charge les tâches répétées comme les instructions à virgule flottante (floating point) et accélère ainsi le traitement des opérations.
C'est le cas du "Rapid Execution Engine" du Pentium 4 ( cf. page d'accueil ).